COUP D’ÉTAT CONSTITUTIONNEL AU BÉNIN
Kemi Seba : « Comme une plaie qui doit mûrir avant d’expulser le pus, le régime tyrannique de la mafia TALON/WADAGNI devait aller au bout de sa folie avant de mourir de son propre poison.
Son ultime folie est l’instauration, dans la nuit du 15 novembre 2025, sans l’aval du peuple, d’un nouveau régime politique, issu du viol intégral et sans préavis de la Constitution béninoise, permettant désormais à Patrice Talon de pouvoir diriger à vie le pays via le Sénat, et à son blanchisseur de capitaux, Wadagni Romuald, de pouvoir jouir non plus d’un quinquennat présidentiel, mais d’un septennat.
L’opposition, elle, est, via ladite trêve imposée par la mafia talonienne, éradiquée, sous prétexte qu’il faudrait à tout prix préserver la pseudo-stabilité de l’État et donc éviter tout débat.
La prise d’otage du peuple béninois par la mafia au pouvoir étant désormais exposée aux yeux de tous, nous pouvons dire avec certitude, et par expérience, que lorsqu’un groupe de politiciens corrompus opère un coup d’État constitutionnel, l’histoire, pour les initiateurs de cette forfaiture institutionnelle, ne finit jamais bien.
Nous avons jusqu’à Avril 2026 pour remettre le pays de Béhanzin, Bio Guéra, des Agodjiés, dans les mains du peuple. Sans le savoir, Talon 👠 vient de nous donner toutes les armes pour mettre fin politiquement à son clan de preneurs d’otages.
Aux citoyens avisés, aux panafricanistes avérés, aux militaires non gradés, tous révoltés par l’injustice sociale globalisée et la tyrannie institutionnalisée, l’Histoire nous regarde. Et je sais, pour parler à chacun d’entre vous, que demain, victorieux, n’est pas loin. »
Kémi Seba











